Où est-ce que je commence
Quand je ne sais pas où aller
Quand le corps est contracté
Le rythme lent
Quand ma gauche ne veut pas bouger
Je préfère me blottir
Veux juste câliner
De l’espace pour fondre
Ouvres doucement, laisses couler
Les mots, les larmes, les je ne sais pas où aller
Rester là juste une seconde
Peut-être qu’alors je saurai
J’ai bougé sans m’arrêter
Pendant un temps
Il n’y a nulle part où aller